Il serait temps aujourd’hui de prendre en compte les difficultés que nos collègues supportent tant dans leur vie personnelle que professionnelle. Quand les faits sont là, la grande famille des policiers, hiérarchie en tête est étonnée qu’un collègue tente de passer à l’acte. Notre hiérarchie est là certes pour donner des instructions mais aussi pour être à l’écoute, et force est de constater que cela n’est pas toujours le cas ! Les conditions de travail aujourd’hui sont déjà très difficiles et il ne sert à rien d’ajouter à ces difficultés un surplus de pression qui ne sert que l’intérêt de ceux qui privilégient leur déroulement de carrière. Que celles et ceux qui s’étonnent aujourd’hui de cet acte, fassent le bilan de leur comportement envers notre collègue, peut être y a-t-il là un espoir de reconnaissance de la condition humaine du policier ! Nous souhaitons un prompt rétablissement à notre collègue.