La FPIP appelle au service minimum dans tous les commissariats de FRANCE et conseille à tous les policiers qui sont touchés psychologiquement par ces événements, blessés dans leur âme et /ou leur chair de consulter leur médecin et le psychologue de l’administration…
En espérant que ces évolutions permettent l’arrêt de ce chantage, de piètres personnages, s’estimant à tort, « délégués du personnel », concernant les mutations…
La FPIP exige que l’ensemble de nos policiers soient rétablis dans leur droit élémentaire, celui de riposter en cas d’attaque létale, sans être laminés judiciairement et médiatiquement !
La FPIP rappelle à certaines organisations syndicales, que « l’égalité et le droit » à l’avancement s’applique à l’ensemble des collègues, « syndiqués ou non », selon des règles démocratiques…